Pour opérer, l’entreprise doit s’assurer de la bonne santé de ses infrastructures et de ses outils logiciels de back-office.
Il lui faut donc bien cerner ce que cela implique. Si ces aspects des T.I. sont un peu la face cachée de l’iceberg, leur rôle n’en est pas moins important puisque l’on touche aux structures et fondations des services informatiques.
Les infrastructures
Elles englobent l’ensemble des éléments qui contribuent au bon fonctionnement et (plus généralement) à une gestion optimale des services informatiques de l’entreprise. La finalité d’une bonne gestion des S.I. est leur amélioration (rapidité, stabilité, etc.) et passe par une approche globale des ressources (équipes, plateformes…). C’est d’autant plus nécessaire que le parc informatique de certaines compagnies est très vaste. Être en mesure d’assurer une maintenance (postes, serveurs) par des déploiements automatisés en réduit considérablement la complexité et les risques. En règle générale les infrastructures comprennent :
- Le matériel (ordinateurs, serveurs, centres de données, etc.)
- Les logiciels (incluant les systèmes de gestion de contenus, le système d’exploitation, les applications, etc.)
- Le réseau (connexion internet, pare-feu, routeurs, etc.)
On distingue principalement deux types d’infrastructures : classique et infonuagique.
L’infrastructure classique se caractérise par une centralisation des éléments (centres de données, serveurs…) dans ses locaux.
L’infrastructure infonuagique se caractérise par une externalisation de tout ou partie des éléments (chez Amazon Web Services ou Microsoft Azure pour ne citer que les plus connus).
Le back-office
Ce terme regroupe les activités de l’entreprise impliquées dans le support, le contrôle et l’administration des opérations (suivi, facturation, réclamation, soutien technique…). Autant d’aspects invisibles et inaccessibles à l’utilisateur final.
Nos formations sur les infrastructures et le back-office vous aideront à maintenir la bonne santé des services informatiques de votre organisation.